La petite reine de Bahia, Alejandro Reyes
Editions Denoël, 415 pages
Publié en 2014, traduit par Alexandra Carrasco
22.50 euros
4ème de couverture:
À tout juste dix ans, Maria Aparecida est d’une beauté rare, et il émane d’elle une joie de vivre contagieuse qui séduit tous ceux qui la rencontrent. Après la mort de sa mère, elle déménage à Bahia pour gagner sa vie en vendant des cacahuètes et en cirant des chaussures.
Un jour, elle fait la connaissance de Betinho, jeune homosexuel à peine plus âgé qu’elle. Lui aussi a été sacrément cabossé par la vie. Il sera le frère, l’ami, l’allié de la petite fille. Le jour où un flic véreux décide que Maria Aparecida est en âge de se prostituer pour des touristes étrangers, les deux gamins décident de s’enfuir.
Magnifique mélodrame inspiré d’une histoire vraie, La petite reine de Bahia est le récit âpre et dur d’une amitié indestructible qui éclôt au milieu du chaos. Maria et Betinho, ces oubliés de la vie qui transitent dans les bas-fonds de Salvador, incarnent ce Brésil mystérieux, sensuel, misérable et insouciant à la fois.
Mon avis:
J'ai lu ce livre grâce à Dana des Editions Denoël que je remercie beaucoup.
La couverture et le résumé de ce livre me plaisait beaucoup, le résumé était intéressant, mais je suis super déçue.....
Premier ressenti: "wooh!! quelle vulgarité!"
Je n'ai pas du tout accroché au style de l'auteur. Les mots sont crus, le vocabulaire est vulgaire, et même si je ne suis pas prude, je n'ai pas du tout apprécié lire de telle choses. Ce n'était que le début, alors ok, l'ambiance dans laquelle on entre n'est pas propice à la bonne parole, au vocabulaire aisé.... mais quand même! Vraiment une première impression mauvaise, à tel point que j'ai laissé ma lecture en suspend pendant au moins deux semaines.
Quand j'ai ré-ouvert ce livre, je partais sur de bonnes bases, je me disais que ça irait, ce devait être seulement le premier chapitre comme ça, et que je finirai par plonger dedans la tête la première...... bref, je partais vraiment avec une bonne intention, et plouf..... je suis retombée dans le passif total. Je lisais le livre en me demandant quand est-ce que j'allais le terminer, quand est-ce que j'allais enfin entrer dans ma lecture, ressentir ce que ressent Maria.....un échec total!
Je ne vais pas m'attarder sur le style de l'auteur, je pense en avoir fait le tour, et je n'ai pas forcément envie de m'étaler plus sur le sujet.
L'histoire de fond est peut-être bien trouvée, les personnages sont peut-être attachants, moi ce que j'ai retenu, c'est le vocabulaire..... et je suis vraiment embêtée. En général, lorsque je n'aime pas les livres, j'ai tout de même quelque chose à dire dessus, mais là, je n'ai pas aimé et je n'ai rien à en dire tant l'histoire ne m'a pas happée.
Je m'excuse donc auprès des Editions Denoël (ainsi qu'à la traductrice) pour cette critique non constructive, non argumentée, mais qui fait part de mon ressenti à l'approche de ce livre.
Pour résumer, je n'ai pas du tout apprécié, mais rassurez-vous, je suis la seule! Vous pourrez trouver des critiques bien meilleures que la mienne sur le blog de "l'evasion et les mots", "Jules se livre", et "Le monde de Sapotille". (Si d'autres bloggeurs ont aimés et en ont fait un critique, n'hésitez pas à me laisser un commentaire avec le lien de votre critique).
Je l'ai commencé et c'est vrai que le style est cru mais je sens que le lien entre les deux persos va m'emporter.
RépondreSupprimerDommage que tu n'aies pas pu apprécier :(
Et bonne lecture avec Hors de portée ! C'est mon prochain ;)